Le lédon du Groenland, aussi nommé thé du Labrador, est un arbuste à fleur très robuste qui survit bien dans les régions froides du nord du Canada, même dans la toundra. Ses feuilles vertes de forme ovale sont étirées sur le long et on retrouve un duvet sous celle-ci.
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Malgré son nom confondant, il ne contient pas de théine ni de caféine et pousse en grande quantité dans la forêt boréale du Québec. Cette plante aide à la relaxation et relâche les tensions musculaires. Il est idéal d’en prendre après le souper afin de favoriser la digestion et une bonne nuit de sommeil. Vous pourrez donc vous endormir normalement, sans appréhender de l’insomnie.
Plusieurs informations circulent au sujet du thé du Labrador et soulèvent des questionnements sur sa toxicité. Les deux facteurs concernés sont:
Plusieurs arbustes de la famille des éricacées contiennent de l’andromédotoxine (un actif toxique) en petite quantité. Toutefois, c’est seulement lorsqu’ingéré en large dose que cet élément peut entraîner des crampes, des maux de tête ou des difficultés au niveau des intestins. Ainsi, les adeptes de cette plante qui en boivent au quotidien ne rapportent avoir ressentis ces symptômes ou des complications. Tout demeure dans la modération lors de sa consommation.
Cette substance est utilisée par les végétaux dans leur système de défense contre les microbes pathogènes. On retrouve du tanin dans les arbres, les feuilles, les fruits et dans notre alimentation en général. Les tanins sont donc présents dans la bière, le cidre, le thé, le café et surtout dans le vin rouge, ce qui lui donne sa couleur foncée. Pour les estomacs très sensibles, il peut s’avérer difficile à digérer. Avant l’accouchement (lors du troisième trimestre), les femmes des Premières Nations consommaient cette infusion trois fois par jour afin de favoriser la relaxation, contrer l’inflammation et faciliter le travail.
Il pousse dans les sols acides, frais et humides comme les tourbières, les forêts de conifères, les marais ou dans les zones ayant subi des coupes forestières. On peut le cueillir tout au long de l’année (à condition de creuser sous la neige l’hiver), mais il est préférable de le récolter en fin d’été ou à l’automne. En effet, si la feuille est trop jeune, sa concentration en huile essentielle est moindre que lorsqu’elle a eu le temps de bien maturer. Elle contiendra alors moins de saveur ainsi qu’une diminution des propriétés médicinales. Sinon, il est de plus en plus facile d’en retrouver dans une épicerie naturelle près de chez vous ou dans notre boutique en ligne, peu importe où que vous soyez dans le monde.
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